Il s’agit d’envoyer des informations à votre cerveau pour qu’il fonctionne de manière optimale.
On va commencer par mesurer le seuil du jour. En effet, pour apporter le plus d’efficacité possible, il faut personnaliser l’entrainement. Ainsi, vous n’aurez pas le même protocole qu’une autre personne souffrant des mêmes troubles.
Il y a autant d’activités cérébrales différentes qu’il existe d’empreintes digitales.
C’est pourquoi, les appareils tout-en-un, fonctionnant de manière automatisée ne sont pas adaptés à la neurothérapie.
Il est essentiel d’affiner les données pour obtenir des résultats durables, donc d’individualiser les seuils à travailler.
Les dysfonctionnements ayant été observés lors de l’évaluation initiale, nous allons pouvoir travailler les ondes en excès et / ou en déficit.
Après avoir mesuré les seuils du jour, les données sont rentrées dans le logiciel.
La personne est devant un écran où se joue une vidéo et une musique de son choix. Lorsque les seuils à travailler sont atteints, le déroulement de la musique et de la vidéo se fait de façon normal.
Dans le cas contraire, il y aura des micro coupures qui vont « frustrer » le cerveau et ainsi « l’obliger » à réadapter son fonctionnement. Ceci de la même façon que l’on s’adapte face à une situation, la plasticité cérébrale va aider le cerveau à obtenir les changements voulus, de façon automatique.
Imaginer une route que l’on emprunte régulièrement. Un jour, vous avez une tempête qui coupe la route à cause d’un arbre au milieu. Vous devrez alors prendre une déviation pour continuer votre chemin. A force de prendre cette nouvelle voie, cela deviendra le chemin normal à emprunter.
Et bien, c’est ainsi que de nouveaux schémas cérébraux sont créés au sein de votre cerveau, qui vont pouvoir améliorer vos troubles de façon durable.